Si les 200 premiers kilomètres de la Great Ocean Road sont d’une grande beauté, les 40 derniers -que nous vous montrons dans cette vidéo- sont simplement sublimes : d’immenses falaises de sable doré qui sont frappées en permanence par de violentes vagues, des galeries creusées par l’érosion dans lesquelles on découvre une eau translucide aux reflets émeraude…
Mais, comme vous pouvez le voir dans la vidéo, on ne voit quasiment personne ou presque sur les sites. Certes, on essaye toujours de cadrer pour éviter les masses de visiteurs. Mais là, sur les trois minutes, seuls les sites des 12 Apôtres et du London Bridge sont assaillis par les visiteurs européens (un peu), australiens (beaucoup) ou asiatiques (énormément).
Alors, comment expliquer cela ? Tout simplement la plupart des touristes -essentiellement les Chinois ou Japonais- voyagent comme d’habitude en bus, avec une liste impressionnante d’arrêts chronométrés chaque jour. Ici, il en est de même : on descend de l’autocar, on a cinq minutes pour aller faire la photo et on va à l’arrêt suivant. Sauf que, dans ce cas, le bus ne s’arrête que deux fois, à la différence de la douzaine de pauses comme nous avons pu le faire avec notre voiture de location. Manque de temps ? Sans doute. Mais solution de facilité aussi. Car tous les sites que nous avons vus ne sont pas dotés de grands parkings ou même d’un chemin d’accès goudronné. Alors, même si certains lieux sont parmi les plus spectaculaires, la plupart des touristes passent à côté sans s’arrêter et sans s’en rendre compte. C’est au bout du chemin, là où personne ne va, que l’on a parfois les plus belles surprises, devrait-on leur rappeler…

Si los primeros 200 kilómetros de Great Ocean Road son de gran belleza, los últimos 40, que os mostramos en este video, son simplemente sublimes: enormes acantilados de arena dorada que son constantemente golpeados por olas violentas, galerías excavadas por la erosión en las que descubrimos un agua translúcida con reflejos esmeralda …
Pero, como se puede ver en el video, no hay casi nadie en los sitios. Por supuesto que siempre buscamos huecos para evitar las masas de visitantes. Pero aquí, resulta muy fácil, solo los sitios de los 12 Apóstoles y el Puente de Londres están acosados ​​por visitantes europeos (unos pocos), australianos (muchos) o asiáticos (muchísimos).
Entonces, ¿cómo se explica esto? Simplemente, muchos de los turistas, en su mayoría chinos o japoneses, viajan en autobuses organizados, con una impresionante lista de paradas programadas cada día. Aquí, funciona igual: bajada del autobús, cinco minutos para tomar la fotografía y corriendo a la siguiente parada. Excepto que, aquí, el autobús solo se detiene dos veces, a diferencia de la docena de miradores que pudimos hacer con nuestro coche de alquiler. Falta de tiempo ? Sin duda. Pero solución fácil, también. Porque todos los sitios que vimos no tienen grandes aparcamientos o incluso un camino asfaltado. Así pues, aunque algunos de los lugares se encuentran entre los más espectaculares, la mayoría de los turistas pasan sin detenerse y sin darse cuenta del espectáculo que se pierden. Es al final del camino, donde nadie va, que a veces aparecen las sorpresas más hermosas, deberíamos tenerlo en cuenta…

laurent&jose
admin@findusnow.fr

3 thoughts on “Au bout de la route / Al final del camino”

  1. Una vegada més un paisatge espectacular. Deveu tenir el « disc dur » desbordat ja de tanta bellesa. I això de « el final del camino » és al·legòric ? Sí, ja ho se, som uns egoistes, però és que tenim moltes, moltes ganes de veure-us.

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