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Des étals regorgeant de bananes de toutes les couleurs, de fruits, de poissons frais ou séchés ; des parcs dans lesquels courent sangliers, éléphants (on aurait bien voulu en voir plus…), léopards et 4×4 de safari ; des plages au sable blond ancrées dans de petits villages ; des cités historiques, portées par une grande -et parfois lourde- histoire coloniale… La côte sud du Sri Lanka aura pour nous au pire une belle surprise, en tout cas une vraie découverte.
Certes, on peut regretter qu’il s’agisse là d’un des endroits les plus touristiques de l’île : les 120 jeeps à la queue-leu-leu à l’entrée du parc Yala ne font pas rêver, c’est sûr, pas plus que les menus écrits en chinois ou en russe devant les petits restaurants de Galle. Mais les facettes de cette côte sont tellement multiples et enchanteresses qu’elles font oublier ces petits détails.
Sur les 150 kilomètres que nous avons parcourus en longeant l’Océan Indien, on ne peut oublier Tengalé, cette cité paisible avec ces frêles bateaux de pêcheurs alignés sur la plage en attendant de repartir, au petit matin, pour tenter de remplir les filets. Ou les témoignages de ceux qui, en 2004, on vécu le pire lorsque le tsunami a déferlé sur eux (voir notre post précédent).
On ne peut pas éviter d’avoir envie de retourner poser sa serviette sur la plage de Mirissa, à l’ombre des cocotiers, avant de courir sur le sable ou tenter d’affronter les féroces vagues.
On aime aussi beaucoup les images de Galle, l’ancienne cité passées entre les mains des Portugais, des Hollandais et des Anglais, avant de revenir dans celles de leurs légitimes propriétaires cingalais. Une ville-musée où il fait bon flâner dans les petites ruelles à la recherche d’un commerce dans lequel se mettre à l’abri du soleil de plomb.
Et puis on ne peut passer sous silence l’incroyable sourire des Cingalais qui tentent toujours d’entrer en contact avec vous, avec un ‘what is your country ?’ classique, un ‘hello’ bien envoyé, ou un grand signe de main. Certains disent qu’ils sont revenus du Sri-Lanka avec des crampes à la mâchoire tellement qu’ils ont sourit aux locaux (on espère que c’est le cas pour Jean-Henri et Franziska qui nous ont accompagné ici une dizaine de jours). En tout cas, ici, le contact humain, même s’il est succint ou compliqué, est un acte naturel qui -on l’espère- n’est pas prêt de s’éteindre.
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Puestos llenos de bananas de todos los colores, frutas, pescado fresco o seco. parques donde corren jabalíes, elefantes (nos hubiera gustado ver más …), leopardos y safari en 4×4; Playas arenosas ancladas en pequeños pueblos; ciudades históricas, llevadas por una historia colonial grande y, a veces, pesada … La costa sur de Sri Lanka tendrá para nosotros, en el peor de los casos, una agradable sorpresa, en el mejor un verdadero descubrimiento.
Aunque lamentamos que este sea uno de los lugares más turísticos de la isla: los 120 jeeps en cola en la entrada al Parque Yala no son fruto de una pesadilla, de verdad que no, pero tampoco los menús escritos en chino o ruso frente a los pequeños restaurantes de Galle. Pero las aristas de esta costa son tantas y tan encantadoras que te hacen olvidar estos pequeños detalles.
En los 150 kilómetros que hemos recorrido a lo largo del Océano Índico, no podemos olvidar a Tengalé, ciudad pacífica con esos frágiles barcos de pesca alineados en la playa esperando salir temprano por la mañana para intentar llenar las redes. O los testimonios de quienes, en 2004, experimentaron lo peor cuando el tsunami los azotó (ver nuestro post anterior).
No puedes evitar sentir ganas de volver a la playa de Mirissa, a la sombra de los cocoteros, antes de correr sobre la arena o tratar de enfrentarte a las salvajes olas.
También nos encantan las imágenes de Galle, la antigua ciudad pasó por las manos de los portugueses, holandeses e ingleses, antes de regresar a las de sus legítimos propietarios los cingaleses. Una ciudad-museo donde se puede pasear por las calles estrechas en busca de un lugar romántico y bien restaurado en el que refugiarse del sol abrasador y degustar un buen café.
Es imposible ignorar la increíble sonrisa de los cingaleses que contínuamente tratan de entablar contacto, con un ‘¿Cuál es su país?’ lo más clásico, o un hola, o un saludo con la mano. Algunos dicen que regresaron de Sri Lanka con calambres en la mandíbula de tanto sonreir a los lugareños (esperamos que este sea el caso de Jean-Henri y Franziska que nos acompañaron aquí durante varios días) . En cualquier caso, aquí el contacto humano, incluso si es breve o extenso, es un acto natural que, con suerte, está lejos de extinguirse.

laurent&jose
admin@findusnow.fr

2 thoughts on “Direction le Sud ! / El sur nos llama”

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