Choisir entre les deux métropoles d’Australie, c’est un peu comme trancher entre Paris et Marseille ou entre Madrid et Barcelone… Eh bien nous, on a vraiment du mal à choisir. Depuis longtemps, Sydney, la somptueuse, chic et un peu hautaine, nous avait tapé dans l’œil. Mais voilà que l’on arrive à Melbourne et que l’on découvre l’un après l’autre ses quartiers. Et forcément, on tombe sous le charme…
Melbourne, c’est l’histoire d’une ville nouvelle, qui n’a pas encore célébré ses deux siècles d’existence (ce qui dans la chronologie australienne représente quand même déjà beaucoup), et qui à poussé à une vitesse folle sur les rives du fleuve Yarra et le long de la baie de Port Philip, à deux pas de la mer de Tasmanie. Un développement qui aujourd’hui est clairement délimité avec d’une part le quartier des affaires, le CBD (Central Business District), son quadrillage parfait avec ses hautes tours de bureaux, ses restaurants haut de gamme et… son aspect complètement désert -à l’exception des boutiques- le soir après 17 heures ou le week-end. Et d’autre part toute la couronne qui occupe un rayon avoisinant la quinzaine de kilomètres autour du CBD, avec quelques rares immeubles d’habitation et plus sûrement des millions de petites maisons individuelles accompagnées chacune de son petit lopin de terre.
Plus encore que dans le CBD, c’est dans ces quartiers que se découvre tout le charme, l’énergie et l’impertinence de Melbourne, qui a été élue il y a quelques années par The Economist comme la ville la plus agréable pour y vivre. Il suffit d’arpenter les grandes avenues de Fitzroy, Carlton ou Collingwood pour tomber amoureux des magasins au design soigné, des pubs alternatifs desquels sortent des riffs de guitare de heavy metal ou des sonorités lounge, des restaurants de toutes les cuisines du monde -asiatiques en tête-, des petites terrasses posées à même le trottoir… Chaque rue raconte une histoire, celle que dessinent chaque jour les habitants ou les passants. Pour écrire ensemble les destinées de cette ville sans aucun doute belle et rebelle.
Elegir entre las dos metrópolis de Australia, es un poco como decidir entre París y Marsella o entre Madrid y Barcelona … Bueno, realmente tenemos problemas para elegir. Durante mucho tiempo, Sydney, la suntuosa, elegante y un poco altiva, nos llamó la atención. Pero ahora llegamos a Melbourne y descubrimos uno tras otro sus barrios. E inevitablemente, nos enamoramos …
Melbourne es la historia de una nueva ciudad, que aún no ha celebrado sus dos siglos de existencia (que en la cronología australiana todavía es mucha), y que avanzó a una velocidad loca a orillas del río Yarra y a lo largo de la bahía de Port Philip, a pocos pasos del mar de Tasmania. Un desarrollo que hoy está claramente definido con el distrito comercial, el CBD (Distrito Central de Negocios), una cuadrícula perfecta con sus torres de altas oficinas, restaurantes de lujo y … su aspecto completamente desierto -con la excepción de las tiendas- por la tarde después de las 17 horas o el fin de semana. Y, por otro lado, toda la corona que ocupa un radio de unos quince kilómetros alrededor del CDB, con unos pocos edificios altos de apartamentos y, seguramente, millones de pequeñas casas individuales acompañadas cada una de ellas de sus pequeñas parcelas.
Incluso más que en el CDB, es en estos vecindarios donde se descubre todo el encanto, la energía y la impertinencia de Melbourne, que fue elegida hace unos años por The Economist como la ciudad más agradable para estar y vivir. Simplemente camine por las amplias avenidas de Fitzroy, Carlton o Collingwood para enamorarse de las elegantes tiendas de diseño, pubs alternativos de los que salen acordes de guitarra de heavy metal o sonidos de salón, restaurantes de todas las cocinas del mundo: asiáticos en primera linea, pequeñas terrazas en la acera … Cada calle cuenta una historia, la que atrae cada día a los habitantes o transeúntes. Para escribir juntos el destino de esta ciudad sin duda bella y rebelde.
Voy a tener que visitar las dos para decidirme! 😜 Aunque Melbourne con los grafittis ya me tiene conquistada