Après l’île des Dieux -Bali-, nous voici arrivés sur l’île du Diable, la Papouasie. Une dénomination peu engageante qui vient de la géographie même de ce lieu. L’île, bien que connue depuis longtemps, est une des dernières terres hostiles de la planète, à cause de ses accès plus que difficiles, que ce soit pour les hautes montagnes ou pour la jungle impénétrable qui la composent. C’est ici que vivent les dernières tribus qui n’ont jamais eu contact avec le monde moderne, au milieu d’une faune et d’une flore encore intacte…
Pour nous, le voyage -même s’il est long et mouvementé- se limite toutefois à la partie la plus touristique, en l’occurrence l’archipel de Raja Ampat, dans la moitié ouest de l’île (celle appartenant à l’Indonésie et non le pays indépendant qu’est la Papouasie-Nouvelle Guinée). Un chapelet d’île qui s’est ouvert au tourisme voilà seulement une poignée d’années, avec une option claire : la plupart des hébergements sont des homestays de quelques bungalows rustiques, appartenant le plus souvent à des familles locales. Et en hors saison (comme c’est le cas en juillet, époque généralement assez pluvieuse, sauf lors de notre passage), les visiteurs ne se battent pas : nous étions seulement trois dans le village sur l’île de Gam…
Autant dire que l’océan était presque pour nous seuls : des eaux turquoises ou verdâtres, une faune marine incroyable, des coraux qui, ici, par miracle, survivent (à voir dans notre prochain post…), des paysages époustouflants… Bref, un paradis papou qui, au lieu d’être diabolique, nous paraît divin.

Después de la isla de los dioses-Bali, llegamos a la Isla del Diablo, Papua. Un nombre poco atractivo que proviene de la misma geografía de este lugar. La isla, aunque conocida desde hace mucho tiempo, es una de las últimas tierras hostiles del planeta, debido a sus accesos más que difíciles, tanto por las altas montañas como por la selva impenetrable que la compone. Es aquí donde viven las últimas tribus que nunca han tenido contacto con el mundo moderno, en medio de una fauna y una flora intactos …
Para nosotros, el viaje, aunque largo y conmovedor, se limita a la parte más turística, en este caso al archipiélago de Raja Ampat, en la mitad occidental de la isla de la parte de Indonesia y no del país independiente de Papua Nueva Guinea. Un rosario de islas que se abrió al turismo hace solo unos pocos años, con una opción clara: la mayoría de los alojamientos son casas de familia de unos pocos bungalows rústicos, la mayoría de los cuales son propiedad de familias locales. Y en temporada baja (como es el caso en julio, generalmente bastante lluvioso, excepto durante nuestra visita), los visitantes no se pelean: solo éramos tres en el pueblo de la isla de Gam …
Durante estos días, el océano era casi solo para nosotros: aguas turquesas o verdosas, increíble fauna marina, corales que aquí sobreviven milagrosamente (ver en nuestro próximo post …), paisajes impresionantes … En resumen, un paraíso de los papúes que, en lugar de ser diabólico, nos parece divino.

laurent&jose
admin@findusnow.fr

3 thoughts on “La Papouasie, côté mer / El lado maritimo de la Papúa”

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