A la demande générale, on y retourne… Bon, en fait, c’est surtout parce que l’île nous parue merveilleuse… Nous voici donc de retour à Nusa Penida, l’île à seulement 30 minutes de speed boat de Bali qui nous avait émerveillé voilà deux semaines.
Et cette fois-ci, une nouvelle surprise nous attend au petit matin, au détour d’une imposante falaise. On se jette à l’eau avec masque et tuba et nous voici au milieu d’un petit groupe de 6 à 7 raies manta. Une spectacle hors du commun pour ces « diables des mers » dont cette espèce, dite de récif, peut atteindre 4 mètres d’envergure (contre 7 mètres et un poids dépassant la tonne pour les mantas océaniques). Autour de nous, sans réellement se soucier des humains, elles ‘labourent’ inlassablement la mer en quête du zooplancton nécessaire à leur alimentation. Mieux : on dirait qu’elles jouent avec ces humains qui pourtant, depuis 20 ans, sont responsables d’une diminution vertigineuse de cet animal marin. En cause : la surpêche (elles se retrouvent alors prises dans les filets) ou, bien plus inquiétant, un braconnage visant à récupérer seulement leurs branchies. Sans aucun fondement scientifique, les Chinois pensent que cet organe stimule le système immunitaire… Les cours s’envolent, les branchies s’arrachent et les raies disparaissent de la surface du globe.

Por demanda popular, regresamos … Bueno, de hecho, es principalmente porque la isla es maravillosa … Así que aquí estamos de regreso a Nusa Penida, la isla a solo 30 minutos en lancha rápida de Bali que nos sorprendió hace dos semanas.
Y esta vez, una nueva sorpresa nos espera temprano en la mañana, en la curva de un imponente acantilado. Saltamos al agua con máscara y snorkel y aquí estamos en medio de un pequeño grupo de 6 a 7 mantarrayas. Un espectáculo fuera de lo común para estos « demonios de los mares » de los cuales esta especie, llamada arrecife, puede alcanzar 4 metros de ancho (por 7 metros de largo y un peso superior a la tonelada para las mantas oceánicas). A nuestro alrededor, sin preocuparse realmente por los humanos, ‘nadan’ incansablemente en el mar en busca del zooplancton necesario para su alimentación. Mejor: parece que juegan con estos humanos que, sin embargo, durante 20 años, son responsables de una disminución vertiginosa de este animal marino. Involucrados: sobrepesca (luego son atrapados en las redes) o, aún más preocupante, la caza furtiva para recuperar solo sus branquias. Sin ninguna base científica, los chinos piensan que este órgano estimula el sistema inmune … Los precios se disparan, los mercados se vuelven frenéticos y las mantas desaparecen de la superficie del globo.

laurent&jose
admin@findusnow.fr

2 thoughts on “Retour à Penida / Regreso a Penida”

  1. Que expectaculares y majestuosas las mantas debe de ser muy emocionante poder estar tan cerca hasta tocarlas una isla preciosa.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Résoudre : *
38 ⁄ 19 =